Une femme s’évanouit de manière théâtrale, un objet roule doucement au sol en gros plan, des inconnus fomentent un plan machiavélique juste à côté des concernés… Le cinéma est rempli de motifs, parfois récurrents, qui intriguent et s’impriment dans nos esprits. Le deuxième mardi de chaque mois, nous vous proposons le défi “Un bon film avec…” : chaque rédactrice dénichera un film en lien avec un thème (plus ou moins) absurde mais qui vient naturellement à l’esprit. Pourquoi ces images s’imposent-elles ? Quel sens recouvrent-t-elles dans notre imaginaire ? Et dans l’œuvre ? Les retrouve-t-on dans un genre précis ? Comment deviennent-elles des clichés ?
/! Cet article peut contenir des spoilers. /!
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Prendre la main de quelqu’un, pour l’aider à grimper dans un élan romantique. Attraper la main de quelqu’un, pour l’empêcher de faire une chute fatale. Agripper la main de quelqu’un, pour ne pas qu’il parte. Un geste récurrent au cinéma, que ce soit dans des comédies ou drames romantiques, dans des films catastrophe ou d’action. Interaction-clef entre deux individus, il est souvent l’élément déclencheur ou de résolution de l’action. Ainsi, dans Titanic (James Cameron, 1997), quand Rose s’apprête à se jeter du haut du paquebot, un passager de seconde classe, Jack, tente de la raisonner. Alors qu’elle accepte sa main tendue et entame l’enjambée du bastingage, elle glisse. Le jeune homme la retient et lui promet de ne pas la lâcher. Tout bascule avec cette main tendue, qui déclenche le récit initiatique, la jeune femme apprenant à ne pas abandonner au contact du jeune homme. Dans Aladdin (John Musker et Ron Clements, 1992), le geste, accompagné de la réplique “Vous avez confiance en moi ?” fait basculer la relation des personnages principaux dans la romance et devient un signe de reconnaissance. Dans les deux cas, la main tendue permet de s’affranchir des classes sociales à travers la relation amoureuse. Dans Retour vers le futur (Back to the futur, Robert Zemeckis, 1985), la main tendue vient après que George a sauvé Lorraine et change radicalement la relation entre les deux futurs parents de Marty. Le geste est à nouveau celui du sauveur amoureux. Comme dans L’Impossible Monsieur Bébé (Bringing Up Baby, Howard Hawks, 1938) où, à la fin, alors que David (Cary Grant) avoue son amour à Susan (Katharine Hepburn) celle-ci s’écroule sur l’œuvre de sa vie (un dinosaure), il la retient par la main en criant “Tiens bon ! Tiens bon !”, empêchant la jeune femme de tomber et scellant ainsi leur union.
La main est tout autant salvatrice dans le cinéma d’aventure : dans Le Seigneur des Anneaux : Le Retour du Roi (Peter Jackson, 2003), le « Donnez-moi votre main » de Sam, main tendue au dessus de Frodon, suspendu au dessus des flammes de la Montagne du Destin, met une nouvelle fois en avant le soutien indéfectible du hobbit, prêt à risquer sa vie pour sauver son ami. Lorsque Frodon la saisit – après plusieurs tentatives infructueuses -, le symbole est fort : se raccrochant à la vie et au Bien plutôt qu’à l’appel de l’Anneau, il sauve la Terre du Milieu, rejetant la tentation et acceptant la destruction du terrible objet de pouvoir. Encouragement, soutien lors d’un moment de faiblesse, salutation chaleureuse, les mains tendues sont nombreuses dans la saga où la Communauté et l’indéfectible amitié qui lie les compagnons permettent de vaincre le Mal. Dans Indiana Jones et la Dernière Croisade (Steven Spielberg, 1989), une scène assez similaire a lieu. La nazie Elsa Schneider chute, le sol rompant sous ses pieds. Indiana la rattrape par la main, mais alors qu’il essaie de la faire remonter, celle-ci tente d’attraper le Graal, presque accessible. Tentée, elle ne tend pas son autre main à l’aventurier, son gant se défait et elle tombe au fond du précipice. La corniche sur laquelle il se trouvait cède et Indie chute à son tour. Son père le rattrape in extremis. Le même scénario se reproduit mais cette fois, malgré la tentation, Indiana écoute les sages paroles paternelles et tend sa seconde main pour se hisser sur la terre ferme, en sécurité. Ces deux épisodes de chute avortée se rejoignent dans leurs thématiques. Solidarité, amitié et rejet de la tentation permettent le sauvetage grâce à une main tendue.
Dans le cinéma d’action et d’aventure, il est question de vie ou de mort, comme dans Traffics (Reclaim, Alan White, 2014) où femme et enfant sont dans une voiture qui chute lentement du bord d’une falaise, sous les yeux du mari hurlant “Prend ma main” ou encore dans Calculs meurtriers (Murder by Numbers, Barbet Schroeder, 2002) où Sandra Bullock est en équilibre sur une planche et demande de l’aide en criant “Donne moi ta main, s’il te plait” à Michael Pitt dont le bras est blessé. Le suspense renforce la situation déjà périlleuse. Dans le film catastrophe, la main est souvent glissante, que ce soit à cause d’un gant ou du stress. Tenir au bord d’un gouffre devient alors difficile. Dans La Tour Infernale, Steve McQueen doit couper le dernier câble qui retient un ascenseur panoramique remplis, suspendu à 100 étages au-dessus du sol. Alors que l’ascenseur se détache violemment, le pompier qui l’accompagne tombe. Le héros parvient à le retenir mais un des gants glisse. Il s’agit d’une course contre la montre : alors que l’hélicoptère descend lentement vers la terre ferme, Steve McQueen doit lutter de toutes ses forces pour ne pas faire tomber l’homme. L’épreuve physique l’empêche de formuler un seul mot.
“Prends ma main”, “Je ne te lâcherai pas”, “Tiens bon”, “Accroche-toi” ou même une simple main tendue : les variantes et les nuances multiples ont rendu le défi difficile à relever. Kuzco, Le Roi Lion, La mort vous va si bien : les extraits choisis pourraient bien vous surprendre.
N’oubliez pas de voter à la fin de l’article pour le prochain défi ! Et à vos propositions !
La Mort vous va si bien, Robert Zemeckis, 1992
Une haine tenace couve entre Madeline, actrice médiocre, et son amie Helen. Obsédée par ses rides, Madeline vole son fiancé chirurgien plasticien, Ernest, à Helen, qui en devient momentanément obèse de dépit. Grâce à un élixir magique, Madeline retrouve sa jeunesse et se voit offrir l’immortalité. Mais Helen est bien décidée à se venger et à récupérer son fiancé…
Comme vous l’aurez compris à travers les quelques lignes de synopsis, Robert Zemeckis nous offre, avec La mort vous va si bien, une satire féroce d’Hollywood. Se croisent dans cette parodie le pacte faustien, avec une Isabella Rossellini en Méphistophélès au charme ravageur, et le mythe de Dorian Gray, convoqué dès les premières images par la présence de jeux de miroirs. Des motifs déjà brillamment explorés dans de nombreux films, Phantom of the Paradise (Brian de Palma, 1974) étant sans doute le plus réussi. Zemeckis fait également des clins d’œil à l’Âge d’or et à la décadence d’Hollywood, la maison de Madeline n’étant pas sans rappeler celle de Norma Desmond dans Sunset Boulevard (Billy Wilder, 1951). La robe rouge d’Helen semble quant à elle empruntée aux stars glamour de l’époque, Rita Hayworth ou Ava Gardner. Et même si les effets spéciaux ont un peu vieilli et que le grotesque de ce film confère au kitsch, ce film reste réjouissant, bourré d’humour jusqu’à sa séquence finale à la sortie d’une église…
Tout au long du film, Lisle Von Rhoman, diablesse recluse dans un château de luxe, accueille ses clients. À tous elle demande de lui donner leur main. Elle y pique un couteau, faisant couler le sang, scellant un pacte irréversible avant de leur faire bénéficier des miracles de son élixir de jeunesse. Elle donne ensuite un badge au client, signe de reconnaissance de cette loge maçonnique pour freaks de l’au-delà. En échange de ses services, le client devra simuler publiquement sa mort sous 10 ans, afin de ne pas éveiller les soupçons quant au non-viellissement. Helen et Madeline, ne pouvant supporter les effets du temps sur leur corps, ont signé le pacte. Leur corps est donc éternel, mais il se détériore. Elles ont donc besoin d’Ernest, chirurgien et embaumeur, qui pourrait les rafistoler ad vitam aeternam si lui aussi se rend chez Lisle. Elles se liguent contre lui et l’endorment.
Ernest se réveille chez Lisle au bord d’une piscine et réussit à s’enfuir avant d’avoir bu l’élixir. Après avoir croisé James Dean, Marilyn Monroe et Andy Warhol parmi l’assemblée réunie ce soir-là, il échappe à un cerbère et saute dans un ascenseur. Celui-ci le mène sur les hauteurs du château. Il cherche une issue, au son de la bande originale volontairement “hermannesque” d’Alan Silvestri. Filmé dans une contre-plongée qui renforce le vertige, Ernest se hisse à une paroie.


L’arrière-plan est soudain envahi par les Helen et Madeline. Pour filer la métaphore hitchcockienne, les deux femmes, vêtues d’une robe noire quasi-identique, semblent composer les deux faces d’un même être à la façon du personnage féminin de Vertigo (Alfred Hitchcock, 1958). L’une rousse, l’autre blonde, les deux femmes transformées en sorcières figées pour l’éternité sont menaçantes.

La gouttière s’effondre, Ernest est suspendu de façon comique à ses bretelles. Helen et Madeline lui crient “Hold on !”, lui tendent la main. Un jeu de champ-contrechamp démarre, une confrontation entre les deux créatures et le pauvre homme, ponctuée par les inimitables mimiques de Meryl Streep, décidément capable d’endosser tous les rôles sur grand écran. Helen lui tend son étole, celle-ci s’envole. Elle lui tend la main mais ils sont trop loin. Une solution s’offre à lui, boire l’élixir pour survivre à sa chute imminente.


Il est sur le point de boire la potion, quand un contrechamp nous montre les deux femmes, nimbées d’une lumière surnaturelle du fait des éclairs qui zèbrent le ciel. “Nous avons besoin de toi!” s’écrient-elles. Moment d’épiphanie, Ernest prend conscience qu’il n’a aucune envie de passer l’éternité avec ces deux sorcières qui n’ont besoin que de son savoir-faire pour entretenir leur carcasse sans vie. Ernest lâche la potion dans le vide, et se laisse tomber.



La chute est longue, il brise finalement un plafond de verre aux couleurs de la Chapelle Sixtine et tombe dans la piscine, véritable chute aux Enfers parmi les morts-vivants. Helen et Madeline échangent un regard désabusé, lèvent les yeux au ciel dans un dernier élan comique.

Cette scène renferme l’idée – quelque peu moralisatrice – qui anime le film : en renonçant à la vie éternelle, Ernest préfère mourir dignement, plutôt que céder aux sirènes de l’artifice. Une idée qui prend forme à la fin du film, à l’enterrement du personnage. Sa “vie éternelle” est évoquée à travers sa descendance, son héritage familial, plus précieux et plus beau que les créatures défigurées et bientôt centenaires que sont devenues les deux femmes.
Lucie Dachary
La mort vous va si bien (Death becomes her)
Réalisé par Robert Zemeckis
Avec Meryl Streep, Goldie Hawn, Bruce Willis, Isabella Rossellini
Fantastique, comédie, Etats-Unis, 1h44
United International Pictures
Disponible sur OCS, Canal
Le Roi Lion, Roger Allers et Rob Minkoff, 1994
Le jeune lionceau Simba vit paisiblement dans la savane que son père dirige. Dans l’ombre, son oncle Scar manigance la mort du roi et l’exil de l’héritier.
Une des premières scènes à laquelle on pense à l’évocation de ce nouveau défi est, paradoxalement, une scène dans laquelle quelqu’un ne dit pas “Attrape ma main”. Agrippé à la falaise, suspendu au-dessus d’une débandade de gnous, le roi de la savane, Mufasa, est surplombé par son frère, Scar, qui savoure son pouvoir. La mort du roi, que Scar va jeter dans le vide, est d’autant plus marquante que la scène s’appuie sur notre imaginaire et renverse nos attentes. Dans l’expectative du sauvetage et de la phrase-clé, “Prends ma main” – ici “Prends ma patte” -, les mots proférés par Scar revêtent une importance capitale. Les deux plans fixes, après un enchaînement rapide d’actions, semblent étirer le temps. Le doubleur – Jean Piat, dont il faut saluer la performance – détache chaque syllabe, avec une diction à la fois jouissive et glaçante : “Longue vie au roi”. Jusqu’alors menace pathétique, Scar devient, en dévoyant le geste attendu, le grand Méchant du film. Acte d’autant plus cruel qu’il répond à un appel à l’aide et à la fraternité : “Mon frère, aide-moi”.
Longue. Vie. Au roi.
Si, scénaristiquement, la mort de Mufasa affirme l’antagonisme de Scar, elle revêt également une dimension symbolique. Sage et protecteur, le roi lion est, pendant toute la première partie du film, un véritable modèle pour son fils, qui vit dans un cocon. Dans cette scène, c’est un père idéalisé qui apparaît, héroïque, presque divin lorsqu’il bondit au-dessus du troupeau, sa silhouette se détachant à contre-jour. Mis sur un piédestal, il surplombe la savane et apparaît en pleine ascension.
Mufasa, ce héros
Le regard de l’enfant sur la mort de son père est essentiel : c’est de son point de vue que nous apparaît la chute du roi. Le fondu au noir entre le corps de Mufasa, qui n’en finit pas de tomber, et le regard du lionceau, duquel la caméra – et donc l’image qui précède – semble sortir à la faveur d’un dézoom, en font une vision subjective, presque cauchemardesque. Ces deux moments oniriques – l’ascension et la chute – encadrent l’échange entre Scar et son frère et lui donnent une dimension fantasmagorique. Scar, dont le nom signifie littéralement “cicatrice”, est l’incarnation de la culpabilité de l’enfant à la mort du père. Alors que le roi lion chute et disparaît dans le fondu au noir, le cri du fils se mêle et ne fait plus qu’un avec celui du père : une partie de Simba meurt avec Mufasa. Meurtre oedipien, la chute est un traumatisme qui met fin à l’enfance et déclenche la quête initiatique du lionceau.
La mort de Mufasa à travers le regard de Simba
Johanna Benoist
Le Roi Lion (The Lion King)
Réalisé par Roger Allers et Rob Minkoff
Avec les voix de Dimitri Rougeul, Emmanuel Curtil, Jean Reno, Jean Piat
Animation, Aventure, États-Unis, 1h29, 1994
Walt Disney Studios
Disponible sur Disney+, Canal VOD et Orange
Kuzco, l’empereur mégalo, Mark Dindal, 2000
Kuzco est l’égocentrique empereur des Incas. Il coule une vie paisible et parfaite dans son magnifique palais. Mais le calme est de courte durée car la conseillère de l’empereur, Izma, fomente un machiavélique complot et le transforme en lama.
Alors que Kuzco est convaincu que Pacha, le paysan qui l’accompagne, l’a changé en lama, les deux compères se réconcilient après avoir survécu à une meute de jaguars affamés, une chute vertigineuse et une noyade certaine. Alors que le palais est en vue, le pont qu’ils traversent cède sous le poids de Pacha. Appelant son acolyte à l’aide, il réalise sa méprise : après avoir voulu détruire son village, le lama royal le trahit une nouvelle fois en refusant de lui tendre la patte. “Et notre poignée de main ?!” crie le paysan suspendu au-dessus du vide par de minces cordes. Le geste de main symbolise ici un accord, une alliance, un pacte tacite. Réponse cinglante – et hilarante – de Kuzco : “le b.a.-ba de la poignée de main, c’est qu’il faut des mains !”. Ironie du sort : les planches restantes se brisent sous l’empereur. Les voilà réunis dans une même galère. S’ensuit une bagarre dantesque et pour le moins déloyale qui aggrave leur situation : le pont cède définitivement et entraîne le duo dans une chute vertigineuse. Coincés, dos à dos, entre deux roches surplombant de quelques mètres une rivière infestée de crocodiles, il leur faut s’allier pour survivre.
Pacha élabore à toute vitesse un plan pour leur survie : “J’ai une bonne idée. Donnez-moi la patte !”. Variante du “Prends ma main”, la déclaration rappelle la trahison précédente et le refus de Kuzco de tendre la patte à son compagnon d’infortune. À présent contraint pour son propre salut, il n’a pas d’autre choix. Le seul chemin possible est celui de la solidarité et de l’entraide, symbolisées par ce “bras-dessus-bras-dessous”. Il faut remonter pas à pas la falaise, en parfaite alternance avec son compagnon : un exercice de confiance et de coordination, en opposition totale avec les actions passées de l’égoïste souverain. Le défi physique est de taille et les protagonistes doivent lutter contre la pesanteur et surtout contre leurs divisions pour échapper à cette mort certaine. Après quelques discordances – réinsufflant du comique dans le tragique de la situation – et un peu d’organisation – “Ta droite ou ma droite ?”, ils réussissent à trouver le juste rythme – “Vous n’avez pas le choix. Il faut me faire confiance !”.
Une fois arrivé sain et sauf en haut de la falaise, gêné par cette cohésion soudaine, le duo partage un long silence rompu par un pan de terre qui entraîne Pacha dans sa chute. La main tendue initiale – ici, plutôt bouche tendue – tant attendue est enfin là : Kuzco rattrape son compère in extremis. De son plein gré. S’ensuit un énième moment de vantardise du lama suivi du constat : il a sauvé Pacha en accomplissant enfin un véritable acte altruiste. Abandonnant pour la première fois les calculs mesquins, l’action de l’empereur permet d’entamer la réconciliation, la confiance et l’amitié.
Le motif du rattrapage est décliné tout au long de la séquence pour symboliser l’évolution de la relation de Kuzco et Pacha. Foncièrement généreux, Pacha aide toujours Kuzco malgré ses manipulations et son sale caractère. Cette seconde scène de chute fait écho à la résolution finale de l’intrigue. Alors que Pacha chute du sommet du palais et se retrouve suspendu au-dessus du vide, Kuzco essaie de récupérer la potion qui le retransformera en humain. À l’instant fatidique, alors que tout espoir semble perdu, Kuzco se détourne de la potion et se précipite pour rattraper son ami, laissant tomber la fiole. Les deux compagnons réutilisent la technique du “bras-dessus-bras-dessous” pour atteindre leur but. Finalement, l’altruisme premier de Pacha lui vaut d’obtenir le concours du plus égoïste des égoïstes et surtout d’amener ce dernier sur le chemin de la rédemption. Kuzco est porteur d’une belle leçon de solidarité : “l’union fait la force”.
Manon Koken
Kuzco, l’empereur mégalo (The Emperor’s New Groove)
Réalisé par Mark Dindal
Avec les voix de Didier Gustin, Jacques Frantz, Elisabeth Wiener, Emmanuel Curtil
Animation, Aventure, États-Unis, 1h15, 2000
Walt Disney Studios
Disponible sur Disney+, Canal VOD et Orange
Avec la participation de Marine Moutot
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7 commentaires sur « [DÉFI] Un bon film dans lequel quelqu’un dit « Attrape ma main ! » »