[CRITIQUE] L’Affaire Collective

Suite à l’incendie du Colectiv Club en 2015, une discothèque de Bucarest, des personnes meurent à l’hôpital de blessures qui ne mettaient pas leur vie en danger. Le documentaire suit l’équipe d’investigation du journal de la Gazette des Sports puis le nouveau gouvernement mis en place temporairement avant les élections.

Le film a été nommé dans la catégorie Meilleur film étranger aux Oscars.

Une critique de Marine Moutot.

[CRITIQUE] Judas and the Black Messiah

William « Bill » O’Neal, voleur de voitures à Chicago dans les années 60, se fait coincer par le FBI. L’agent Mitchell lui propose un deal : il évitera la prison s’il accepte d’infiltrer le Black Panther Party, mouvement révolutionnaire afro-américains. Il doit plus particulièrement se rapprocher de Fred Hampton, leader charismatique de la section de l’Illinois. O’Neal va devenir son garde du corps.

Une critique de Clémence Letort-Lipszyc

[CRITIQUE] Oscars 2021 : Les courts-métrages documentaires

Cette année, les films nommés dans la catégorie “Courts-métrages documentaires” pour les Oscars mettent en avant des sujets forts et importants, liés à divers événements ayant eu lieu dans le monde entier (manifestations à Hong-Kong, famine au Yémen, violence envers la population afro-américaine). Mais ces films travaillent aussi la question de la mémoire et de l’importance des souvenirs et de leur transmission. Ces documentaires s’accrochent à des visages, des actes, des mots qui dorénavant, vivront pour toujours.

Une critique de Camille Dubois.

[CRITIQUE] Sound of Metal

Ruben vit avec Lou dans leur camping-car. Lui est le batteur de leur groupe, elle la chanteuse. Chaque soir, une nouvelle scène, un nouveau concert, un nouvel endroit à découvrir. Alors que tout semble aller pour le mieux, Ruben découvre qu’il sera bientôt sourd. Son monde ne sera plus jamais le même…

Une critique de Manon Koken, avec la participation de Marine Moutot.

[CRITIQUE] Le Peuple loup

Irlande, XVIIe siècle. Robyn, 11 ans, et son père quittent leur Angleterre natale pour se rendre à Kilkenny, en Irlande, où ce dernier doit exterminer la dernière meute de loups du pays. Voulant elle aussi prendre part à la chasse, elle rencontre Mebh, une jeune fille surprenante et sauvage, qui va lui faire découvrir son monde. Un monde sur lequel pèse une grave menace.

Une critique de Manon Koken.

[CRITIQUE] Love and Monsters

La destruction d’une météorite avec des missiles atomiques a eu pour effet secondaire de transformer la faune du monde terrestre en un environnement peuplé de monstres, menant à l’effondrement de la civilisation humaine.

Le film a été nommé dans la catégorie Meilleurs effets visuels aux Oscars.

Une critique de Déborah Mattana.

[CRITIQUE] One Night in Miami

Miami, 25 février 1964. Quatre icônes afro-américaines et amis se retrouvent pour une nuit dans un hôtel : Jim Brown, footballeur américain devenu acteur, Sam Cooke, chanteur-compositeur et l’un des artistes noirs les plus célèbre à l’époque, Mohamed Ali, athlète de renom, et Malcolm X, membre du groupe religieux The Nation of Islam et activiste militant. Ils célèbrent la victoire de Mohamed Ali, alors Cassius Clay, qui vient d’être sacré champion du monde de boxe à 22 ans. Ils vont notamment échanger sur leur vision de la société américaine, alors divisée par la ségrégation.

Une critique d’Angie Lauprêtre.

[CÉSAR 2021] Retour sur les courts-métrages #2

Le vendredi 12 mars 2021 à 21h se tiendra la 46e Cérémonie des César animée par Marina Foïs, en direct et en clair sur Canal +. Chaque semaine, jusqu’à cette date, nous reviendrons sur les différents courts-métrages éligibles et ceux qui ont finalement été nommés. Le but étant de faire une cartographie exhaustive du court-métrage en France en 2020. Une belle occasion de mettre en avant le court-métrage, de vous faire découvrir nos coups de cœur et d’établir nos pronostics (et les vôtres).

Ce deuxième article est signé Lucie Dachary, Manon Koken et Marine Moutot.