[CRITIQUE] Wonder Woman 1984

Après avoir terrassé Arès durant la Première Guerre mondiale, Diana Prince, désormais employée de la Smithsonian Institution à Washington, D.C., vit discrètement au milieu des humains en 1984. La découverte d’une mystérieuse pierre supposée exaucer les vœux va la contraindre à enfiler de nouveau son costume de Wonder Woman.

Une critique de Manon Koken.