[TOP] 10 bonnes raisons de regarder Qu’est-il arrivé à Baby Jane ? de Robert Aldrich

Au temps du cinéma muet, « Baby » Jane est une grande star, une des premières enfants prodiges. Sa sœur Blanche, timide et réservée, reste dans l’ombre. Mais dans les années 30, les rôles sont inversés et Blanche devient une immense vedette de cinéma tandis que Jane est oubliée. 
Plus tard, Blanche, victime d’un étrange accident est devenue infirme et semble tout accepter d’une sœur transformée en infirmière sadique qui multiplie les mauvais traitements…

En 1962, Robert Aldrich frappe fort avec « Qu’est-il arrivé à Baby Jane ? » Face à face, deux icônes d’Hollywood : Bette Davis et Joan Crawford.

Aujourd’hui, nous vous donnons 10 bonnes raisons de voir ou re-voir ce film devenu culte de Robert Aldrich.

Un top de Camille Dubois.

[ANALYSE CRITIQUE] Men

Pour se remettre de la mort de son mari, Harper décide de s’installer pendant une semaine dans une grande demeure au fin fond de l’Angleterre. Le but : se ressourcer, oublier la tragédie et prendre du temps pour elle. Très vite pourtant, d’étranges phénomènes se produisent.

Le film est sorti au cinéma le 8 juin 2022.

Une analyse critique de Marine Moutot.

[CRITIQUE] Sermons de Minuit

Riley Flynn vient de passer quatre ans en prison après avoir tué une jeune fille dans un accident de la route, alors qu’il était fortement alcoolisé. Sans repères, il retourne vivre avec ses parents sur une petite île au large des États-Unis. Au même moment, un jeune prêtre s’installe sur l’île, et essaie d’apporter un souffle d’espoir à cette petite communauté qui dépérit. Mais ce jeune prêtre semble avoir apporté avec lui quelque chose de sombre et de dangereux. 

[CRITIQUE] – Malignant

Madison vient de perdre son mari, sauvagement assassiné. À la suite de ce traumatisme, elle commence à avoir des visions de meurtres, perpétrés par le même homme, reconnaissable à ses long cheveux noirs et son long manteau de cuir. Elle va tenter d’échapper à l’emprise de ce monstre qui ne semble pas vouloir la laisser tranquille … 

[CRITIQUE] His House

Rial et Bol fuient la guerre civile au Soudan. Lors de la traversée de la Méditerranée, leur fille, Nyagak, est emportée par les flots, ainsi qu’une grande partie des passagers. Rial et Bol arrivent à Londres où les autorités consentent à les placer dans une petite maison passablement défraîchie. Très mal accueillis, ils sont déterminés à faire bonne figure pour ne pas être expulsés et renvoyés au Soudan. Il est cependant difficile de prétendre que tout va bien quand des sorciers et apparitions de l’au-delà commencent à se manifester chez eux… 

Une critique d’Angie Lauprêtre.

[CRITIQUE] Possessor

Tasya Vos travaille au sein d’une organisation secrète qui utilise une technologie neurologique de pointe à des fins criminelles : habiter le corps d’une personne dans le but de la pousser à tuer aux profits de clients très riches. Tout se complique pour Tasya lorsqu’elle se retrouve dans le corps d’un homme dont l’appétit pour le meurtre et la violence dépasse de très loin le sien… Au point de la déposséder de sa propre identité ?

Une critique de Lucie Dachary.

[CRITIQUE] Servant – Saison 1

Alors qu’elle vient de perdre son bébé, Dorothy Turner adopte une poupée reborn pour surmonter son deuil, et engage une jeune nourrice, Leanne, pour s’occuper de celui-ci. Son mari, Sean, inquiet du comportement étrange de sa femme et des effets indésirables de cette nouvelle présence, enquête sur le passé de la nurse. 

Retour sur la saison 1 de Servant par Manon Koken.

3 maisons gothiques pour Halloween

Le choix du gothique comme sujet de notre article d’Halloween s’est rapidement imposé à nous. Maisons hantées, labyrinthes enchantés, gentils fantômes, revenants assassins, monstres inquiétants, histoires d’amour ou de vengeance, il y en a pour tous les goûts.

Un top par Johanna Benoist, Manon Koken et Marine Moutot.

La petite histoire des Vampires sur grand (et petit) écran : de L’Histoire à la parodie

Éteignez les lumières, allumez des bougies et mettez-vous dans l’ambiance avec « Bela Lugosi’s dead » de Bauhaus sur la platine. Aujourd’hui, nous vous parlons de vampires… 

[CORONAPOCALYPSE #2] Les Papas versus l’apocalypse zombie au cinéma

Nous vivons en ce moment une période étrange et angoissante, où la réalité semble rejoindre la fiction. Pour beaucoup confiné.e.s, menacé.e.s par l’invisible mais enfin disponibles aux nombreux livres, films et séries qui composent nos to do lists, nous tentons de nous réapproprier ce temps libre tant désiré. Au milieu des actualités anxiogènes et des conseils pour faire face en toute sérénité, de nombreuses filmographies spécial confinement fleurissent sur la Toile, feel-good movies versus films d’épidémie. Sans doute une manière de recréer l’expérience collective propre au cinéma, signe d’une volonté de partage et de lien en ces temps d’isolement. Nous explorons cette fois le genre du film de zombie, et la place qu’y occupe la figure du père.