Les joueuses japonaises de volley-ball, surnommées les “Sorcières de l’Orient”, sont aujourd’hui septuagénaires. Depuis la formation de l’équipe à l’usine de textile japonaise jusqu’à leur victoire aux Jeux Olympiques de Tokyo en 1964, souvenirs et légendes remontent à la surface et se mélangent inextricablement.
Une critique de Camille Dubois.