[CRITIQUE] Le Bal des folles

La jeune Eugénie communique avec des esprits. En l’apprenant, son père décide de la faire interner à la Salpêtrière, asile pour femme tenu par l’éminent docteur Charcot, pionnier de la neurologie et de la psychiatrie. Le chemin de la jeune femme croise alors celui de Geneviève, une infirmière brisée par la mort de sa sœur. Ensemble, elles se préparent à assister au “Au bal des folles” événement mondain lors duquel les patientes de l’hôpital se retrouvent grimées en gitane, colombine ou mousquetaire pour le plaisir du Tout-Paris.

Une critique de Camille Dubois.