[TOP] 5 films-doudou de la rédaction #4

Temps de lecture :  11 minutes

Face à cette période compliquée, le besoin de films rassurants se fait sentir. Objet transitionnel, le “doudou” nous est apparu comme une évidence. Loin de nous l’idée de vous enjoindre à retrouver votre peluche élimée dans les méandres de vos draps mais plutôt de vous raccrocher à ces films qui, quelle que soit l’humeur du jour, le temps dehors, les difficultés du quotidien, vous font sourire à leur seule mention et vous donnent envie de vous installer bien confortablement dans votre canapé ou de vous rouler dans votre couette. Le doudou, c’est le cocon familial, celui de l’enfance, celui qui rassure, protège et réconforte. Nous avons tou.te.s un film-doudou qui nous accompagne à travers les différentes périodes de notre vie, souvent rencontré à une époque où le monde était – ou du moins semblait – plus simple qu’aujourd’hui. Avec ces films, souvent intemporels (même s’ils vieillissent toujours un peu), un lien spécial s’est tissé, un lien cathartique que l’on retrouve à chaque visionnage. Car plus que la qualité, c’est l’intimité qui se crée avec eux. Et c’est peut-être là qu’est le secret d’un film-doudou : son caractère révolu et son élection subjective. Car malgré les similitudes, chacun a son film-doudou.

Cet attachement sincère est souvent lié aux décennies durant lesquelles nous avons grandi. Les années 1990-2000 pour notre part. La notion de feel good est primordiale d’où la place centrale de la comédie romantique : Quand Harry rencontre Sally (When Harry Met Sally, Rob Reiner, 1989), Un jour sans fin (Groundhog Day, Harold Ramis, 1993), Coup de foudre à Notting Hill (Notting Hill, Roger Michell, 1999), Raisons et sentiments (Sense and Sensibility, Ang Lee, 1995) et autres adaptations des œuvres de Jane Austen. En cette période hivernale, il est aussi impossible d’exclure les films de Noël avec les monuments que sont Love Actually (Richard Curtis, 2001), Maman j’ai raté l’avion (Home Alone, Chris Columbus, 1990) et La vie est belle (It’s a Wonderful Life, Frank Capra, 1946). L’enfance étant souvent le temps de la découverte du film-doudou, les films d’animation y ont une grande place, notamment ceux de studios comme Pixar (Là-haut, Toy Story, Ratatouille), DreamWorks (Shrek, Dragons, Spirit, l’étalon des plaines), Disney (Oliver et Compagnie, Le Roi Lion, Raiponce) et Ghibli (Le Voyage de Chihiro, Princesse Mononoké, Le Château ambulant). Chaque spectateur.rice a évidemment sa comédie culte, qu’elle soit qualitative ou particulièrement régressive : Certains l’aiment chaud (Some Like It Hot, Billy Wilder, 1959) Madame Doubtfire (Mrs. Doubtfire, Chris Columbus, 1993) ou Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre (Alain Chabat, 2002). Les années 1980-1990 regorgent de films d’aventure, sources de nostalgie, rapidement devenus des doudous : Gremlins (Joe Dante, 1984), Les Goonies (Richard Donner, 1985), Hook ou la Revanche du Capitaine Crochet (Steven Spielberg, 1991) et Jumanji (Joe Johnston, 1995).

Symbole de l’attachement cinéphage, les sagas cinématographiques représentent le plaisir de retrouver un univers familier avec des personnages récurrents attachants. Ces sagas ont marqué durablement l’Histoire du cinéma. En 1977, Star Wars (George Lucas, 1977 – 2005) crée ainsi la figure du fan par le biais de produits dérivés et du marketing à grande échelle. Le cinéphile devient alors collectionneur. Parmi les plus adulées : Le Seigneur des Anneaux (Peter Jackson, 2001 – 2003), Matrix (Lena et Lilly Wachowski, 1999 – 2003), Harry Potter (plusieurs réalisateurs, 2001 – 2011), Retour vers le futur (Robert Zemeckis, 1985 – 1990), James Bond (plusieurs réalisateurs, 1962 – 2020), Jurassic Park (Steven Spielberg et Joe Johnston, 1993 – 2001) et évidemment le célèbre aventurier Indiana Jones (Steven Spielberg, 1981 – 2008). 

Introduction de Marine Moutot et Manon Koken, inspirée de 5 séries-doudou pour le confinement Saison 2.


Les films-doudou de Manon

Comment choisir seulement 5 œuvres parmi mes films-doudou ? Après 27 ans d’existence, les fétiches commencent à s’accumuler. Beaucoup sont issus de l’enfance mais certains sont aussi arrivés avec les années, souvenirs de soirées d’internat au lycée ou de soirées ciné avec les ami.e.s. Cet article est l’occasion de faire enfin une déclaration d’amour à ces œuvres pas forcément reconnues, ces films vus tellement de fois qu’on en connaît les dialogues par cœur, ces VHS élimées à l’image rendue granuleuse par les visionnages quotidiens.

Mon éveil à la cinéphilie s’est fait, comme pour nombre de jeunes spectateurs, par le cinéma d’animation. Presque tous les mercredis, je me rendais aux avant-premières organisées par le Mk2 Quai de Seine avec ma mère. J’y découvris Mon Voisin Totoro (Hayao Miyazaki, 1988), Le Château des Singes (Jean-François Laguionie, 1999) et Hercule (Ron Clements & John Musker, 1997). Le souvenir de ces séances reste gravé dans ma mémoire, peut-être pas aussi exact que la réalité du moment, mais toujours présent. Et évidemment, bien qu’amoureuse du grand écran, je dois beaucoup aux VHS, de Disney à Tex Avery, en passant par Aardman et Ghibli. Le visionnage des dérangeants L’Étrange Noël de M.Jack (Henry Selick, 1993) et James et la pêche géante (Henry Selick, 1996), conseillés par une amie de ma mère lors de vacances dans le Midi, m’émerveilla, notamment grâce à la magie du stop-motion. À ce moment poignait déjà un petit goût pour les films incompris comme Taram et le chaudron magique (Richard Rich & Ted Berman, 1985) ou Kuzco, l’empereur mégalo (Mark Dindal, 2000), perles dont je ne comprends toujours pas l’insuccès. Comment ne peut-on pas apprécier le génie des dialogues de l’épopée du lama déchu et l’inventivité des arguments scénaristiques – oui, c’est bien un trampoline géant qui permet la résolution de l’intrigue ? Aujourd’hui, cet amour de l’animation reste intact et me guide dans mon travail auprès du jeune public.

En y repensant, les films-doudou sont aussi venus avec les acteurs. Les acteurs-doudou de l’enfance – Rowan Atkinson, inoubliable Mr Bean, Robin Williams, grandiose dans Jumanji, Mrs Doubtfire et Le Cercle des poètes disparus, et Hugh Grant, Anglais timide présent dans toute comédie romantique britannique digne de ce nom – ont évolué, devenant les talentueux Ewan McGregor, Michael Fassbender, Mads Mikkelsen et Viggo Mortensen. À l’adolescence, je suis d’ailleurs devenue une grande fan d’aventure et de fantastique : en tête, Pirates des Caraïbes, Le Seigneur des Anneaux et Harry Potter – saupoudrés d’un peu de Star Wars. Il n’y avait rien de mieux que les sagas pour accompagner les longues traversées de la France en voiture pour se rendre aux Pays-Bas pour les fêtes. Durant mes années lycées, j’alternais entre Shining – impossible de passer une année sans le voir -, Bridget Jones (1 & 2) et Love Actually. Ce fut aussi le temps des découvertes tardives – mais majeures – de Certains l’aiment chaud et des Monty Python. Princess Bride (Rob Reiner, 1987) – extraordinaires dialogues – ne m’atteint qu’à l’université.

Retour sur 5 films-doudou pour tous les goûts.

Le Seigneur des Anneaux (The Lord of the Rings) – Peter Jackson, 2001-2003

Le jeune Hobbit Frodon reçoit en héritage un bel anneau doré. Mais il apprend qu’il s’agit de l’Anneau Unique, source du pouvoir du terrible Sauron et qu’il pourrait l’aider à décimer la Terre du Milieu. Il doit prendre la route et quitter sa verte et paisible Comté pour le détruire dans la Montagne du Destin. Il sera accompagné dans sa quête par une Communauté réunissant Magicien, Elfes, Hommes, Nains et Hobbits.

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Qui, au sein de la génération Y, a pu passer à côté du phénomène Seigneur des Anneaux qui a atteint le grand public en 2001 avec l’adaptation de la saga de J.R.R. Tolkien par le réalisateur néo-zéolandais, Peter Jackson ? Pas moi, en tout cas. À peine voyais-je les premières images de La Communauté de l’Anneau, que j’étais séduite par l’immensité des paysages, la beauté des effets spéciaux et le message de fraternité et d’entraide porté par ce premier film. Dès lors mes rêves furent emplis d’aventures chevaleresques peuplées d’Elfes et de Hobbits, Viggo Mortensen devint mon acteur favori et mon objectif personnel fut de fouler la terre des Kiwis dès que possible (rêve toujours d’actualité, par ailleurs). Rapidement, je m’attaquais à Bilbo le Hobbit avant de me casser les dents sur la Trilogie de l’Anneau – et la prose lyrique de Tom Bombadil. Aujourd’hui, même si la saga a bientôt 20 ans, elle n’a pas pris une ride. La version française est l’une des rares que j’apprécie. Je retrouve avec joie ces acteurs familiers que sont Elijah Wood, Sean Austin et Dominic Monaghan. Et, quand bien même chaque opus fait 3 heures, les minutes s’écoulent à une vitesse folle et je les savoure avec la même joie qu’autrefois. Prouesses techniques, acteur.rice.s merveilleux.ses et récit fantastique, Le Seigneur des Anneaux, c’est le remède à tout épisode d’ennui ou de tristesse !

Chantons sous la pluie (Singin’ in the Rain) – Stanley Donen & Gene Kelly, 1952

1927, Los Angeles. Don Lockwood et Lina Lemay forment le couple de cinéma adulé. Mais quand le premier film parlant voit le jour, Hollywood doit se mettre à la page. Malheureusement, la voix criarde de Lina risque de mettre leur entreprise en péril. La Monumental Pictures embauche alors une talentueuse jeune chanteuse : Kathy Selden.

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“Que ceux qui n’aiment pas Chantons sous la pluie parlent ou se taisent à jamais !” Voilà ce que m’évoque cette réflexion sur Chantons sous la pluie aujourd’hui. Cette comédie musicale mythique, née de la collaboration entre Stanley Donen et Gene Kelly, est aussi une formidable histoire de cinéma sur le passage au parlant. Lorsque je la découvre en prépa, mon ignorance en la matière me saute au visage et c’est pour moi une découverte majeure. Comment ai-je pu passer aussi longtemps à côté de ce chef d’œuvre ? Sûrement un peu à cause de ma frilosité vis-à-vis de ses cousines contemporaines. Et pourtant, Chantons sous la pluie m’a permis de passer outre et de tomber amoureuse des comédies musicales américaines de l’époque – et des claquettes. La superbe combinaison du Technicolor avec les costumes colorés des protagonistes, la magnificence et l’humour des numéros musicaux et le fantastique trio formé par Gene Kelly, Debbie Reynolds et Donald O’Connor : tout est parfait ! Une bonne appréciation de Chantons sous la pluie est désormais un critère majeur dans toute amitié que je noue. Par ailleurs, pour en revenir aux destins maudits, comment est-il encore possible qu’aujourd’hui Donald O’Connor ne soit pas aussi connu que ses comparses ? Comment se fait-il que ses prouesses de cascadeur n’aient pas conquis l’Amérique – et le monde ? Encore une incompréhension à mes yeux, digne de l’échec de Taram et de Kuzco. 

Taram et le Chaudron magique (The Black Cauldron) – Richard Rich & Ted Berman, 1985

Taram est un jeune valet de ferme qui rêve de devenir un puissant guerrier. Son maître, l’enchanteur Dalben, lui fait part de ses craintes : la truie Tirelire, douée du pouvoir de divination, lui révèle que le sombre Seigneur des Ténèbres recherche le Chaudron magique pour ressusciter son armée de morts et faire régner la terreur sur le royaume de Prydain. Taram doit alors mettre le petit cochon en lieu sûr.

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Taram et le Chaudron magique, c’est le Disney maudit qui a failli couler le célèbre studio aux grandes oreilles. À l’époque, c’est le film d’animation le plus cher de l’Histoire du cinéma. Il coûte 30 millions à ses producteurs mais n’en rapporte que 21. Autant dire que c’est un énorme échec. Pourtant, c’est l’adaptation d’un roman fantasy jeunesse à succès : Les Chroniques de Prydain de Lloyd Alexander ; avec une équipe talentueuse composée de Tim Burton, John Lasseter et Don Bluth. Et elle dénote particulièrement face aux classiques de Disney. Outre l’amoncellement de soucis au tournage (projet repoussé, grèves, réécritures, coupes, renouvellement d’équipe), c’est sûrement parce qu’il est sombre et avant-gardiste qu’il n’a pas rencontré son public – qui aurait dû être adolescent, une première chez Disney. Taram m’a immédiatement plu. Il était différent, avec son univers fantasy – des dragons, des sorcières et de la magie -, et le but n’était pas de conquérir une princesse mais de sauver un royaume face aux Forces du Mal – vous la voyez la future fan du Seigneur des Anneaux ? Malgré la peur que m’inspirait le Seigneur des Ténèbres, la quête initiatique de Taram et ses amis, noble et courageuse, m’a aussi emportée. Évidemment Gurki n’y est pas pour rien. Je précise que tout mon amour va au doublage original de 1985 et non à la version remasterisée ignominieuse de 1998 qui a osé modifier les dialogues.

Quatre mariages et un enterrement (Four Weddings and a Funeral) – Mike Newell, 1994

Charles est un jeune célibataire britannique pour qui seule compte sa bande d’amis : Fiona, Gareth, Tom, Matthew et Scarlett. À un mariage, il rencontre la jolie Carrie et en tombe éperdument amoureux. Leur relation va être semée d’embûches, au rythme de quatre mariages et un enterrement.

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Quatre mariages et un enterrement, c’est une histoire mignonne, romantique et neuneu au possible, qui remonte toujours le moral grâce sa sympathique bande d’amis, toujours présents les uns pour les autres. Elle aurait presque pu devenir une belle série à la Friends mais l’adaptation par Hulu n’a pas le charme de l’original. Quatre mariages et un enterrement, c’est une romance au charme anglais adorable et ce, évidemment, grâce au jeune Hugh Grant, abonné, à l’époque, aux rôles de célibataires anglais timides. C’est le rêve, cousu de fil blanc, de voir Charles et Carrie finir ensemble comme dans un conte de fée, après avoir surmonté tous les obstacles. Et surtout, c’est cette œuvre qui m’a fait à jamais aimer la comédie anglaise. Aujourd’hui, même si je ne vois plus ce film aussi souvent, il a un parfum de tendresse et de nostalgie. Les “fuck” répétitifs de Charles – traduit en “merde” dans la VF -, après une énième panne d’oreiller, me tirent toujours un sourire, voire un vrai éclat de rire, malgré le fait que je connaisse le film par cœur. Une soudaine envie de replonger dans cette perle d’humour britannique…

Madame Doubtfire (Mrs Doubtfire) – Chris Columbus, 1993

Daniel Hillard, doubleur de dessins animés désargenté, se voit privé de la garde de ses trois enfants, suite à son divorce. Désespéré, il devient Mrs Doubtfire, la parfaite gouvernante irlandaise, et se fait embaucher par son ex-femme. Son secret ne va pas être facile à garder.

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C’est avec Madame Doubtfire que j’ai découvert le clown talentueux qu’était Robin Williams. Roi de l’imitation et du grimage, il excelle, tout comme son personnage, dans le rôle de cette gouvernante toute en rondeur et en voix douce. Une interprétation tellement convaincante que même les enfants de Daniel se font berner. Dans la confidence de la mascarade dès les premières minutes, je ne pouvais que me sentir concernée par les déboires du pauvre homme – d’autant qu’il me faisait beaucoup rire – et valider la supercherie. Après tout, quel mal y a-t-il à vouloir retrouver sa famille ? L’idée de les voir séparés était autant un déchirement pour Daniel que pour moi. À la réflexion, et avec les années, l’entreprise de ce père désespéré est pour le moins creepy mais elle était la parfaite excuse pour enchaîner les gags les plus farfelus avec toujours la hantise que le menteur soit démasqué. Et la courte plongée dans le monde de l’animation – véritable univers de Robin Williams qui doubla à la perfection le génie d’Aladdin (Ron Clements & John Musker, 1992) – n’était d’ailleurs pas pour me déplaire. 

Manon Koken

Chantons sous la pluie (Singin’ in the Rain)
Réalisé par Stanley Donen & Gene Kelly
Comédie musicale, États-Unis, 1h42
1952
Warner Bros
Disponible sur Orange, Canal VOD, FilmoTV, La Cinetek et UniversCiné
A partir de 7 ans

Le Seigneur des Anneaux (The Lord of the Rings)
Réalisé par Peter Jackson
Avec Viggo Mortensen, Elijah Wood, Ian McKellen
Fantastique, Aventure, États-Unis, Nouvelle-Zélande, Saga de 3 films
2001 – 2003
 Warner Bros
Indisponible en VOD

Madame Doubtfire (Mrs Doubtfire)
Réalisé par Chris Columbus
Avec Robin Williams, Robert Prosky, Sally Field
Comédie, États-Unis, 2h05
1993
 Twentieth Century Fox
Disponible sur Canal VOD

Quatre mariages et un enterrement (Four Weddings and a Funeral)
Réalisé par Mike Newell
Avec Hugh Grant, Andie MacDowell, Simon Callow
Comédie romantique, États-Unis, Grande-Bretagne, Etats-Unis, 1h57
1994
Pan Européenne Edition
Disponible sur Orange et Canal VOD

Taram et le Chaudron magique (The Black Cauldron)
Réalisé par Ted Berman & Richard Rich
Avec les voix de Jacques Deschamps, Grand Bardsley, Thierry Bourdon
Fantastique, Film d’animation, États-Unis, 1h22
1985
Walt Disney Distribution
Disponible sur Orange, Canal VOD et Disney +
A partir de 9 ans

Publié par Phantasmagory

Cinéma - Série - VR

3 commentaires sur « [TOP] 5 films-doudou de la rédaction #4 »

  1. Richard Curtis, scénariste de « Quatre mariages et un enterrement », est toujours une valeur sûre pour se réconforter ! Les trois films qu’il a réalisés sont sans doute les meilleurs films-doudous auxquels je pourrais penser (Love Actually, Il Etait Temps, Good Morning England) 😀
    Surpris de retrouver « Taram » qui est rarement dans le cœur des fans de Disney haha – tellement renié que Eilonwy n’est même pas dans la liste officielle des princesses Disney, aïe.

    Aimé par 2 personnes

  2. Totalement d’accord :D. Des films-doudou que j’ai plaisir à voir et revoir sans hésitation !
    Eh oui, je voulais aussi mettre en valeur ce film, souvent oublié et rejeté, que j’ai tellement adoré pendant mon enfance.
    Merci beaucoup pour tes retours ;).

    J’aime

  3. « You shall not pass!  »
    C’est plutôt en anglais que résonnent encore les mots de Tolkien transcrits à l’écran par Peter Jackson. Le souvenir de ces sorties au ciné rituelles, peu avant la Noël, en VO. Et le plaisir à chaque fois renouvelé de plonger en Terre du Milieu, vivre cette féerie incroyable, si épique, si puissante.
    Un doudou pour moi aussi, assurément.

    Aimé par 1 personne

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